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9. La circulation alternée
a-t-elle un impact positif ?


Trois expériences de circulation alternée (seuls les véhicules disposant d’une plaque minéralogique paire ou impaire peuvent circuler) ont été menées à Paris, le 1er octobre 1997 (à cause d’un épisode de pollution au dioxyde d’azote), le 17 mars 2014 (pollution aux particules fines) et le 23 mars 2015 (pollution aux particules fines). Et selon Airparif, chacune a démontré son efficacité en termes d’amélioration de la qualité de l’air.


En 2014, le trafic automobile a pu être réduit de 18% à Paris (18% seulement du fait des nombreuses dérogations) et les émissions de particules PM10 ont diminué en moyenne de 2%, et de 6% à proximité des grands axes routiers. Les émissions d’azote ont de leur côté baissé de 7% et ont atteint 10% à proximité du trafic routier. Pourquoi pas plus ? Parce qu’il existe une « couche de pollution  minimale » sur laquelle seules des actions de niveau national ou européen pourront avoir un effet.

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10. Quelles sont

les mesures programmées

à Paris ?

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